Ce site utilise javascript pour fonctionner. Pour une expérience optimale, merci de bien vouloir l'activer.

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies ou autres traceurs pour réaliser des statistiques de visites. En savoir plus

LES VIDÉOS DE NOTRE JOURNÉE D'ÉTUDES 2021 : La guerre d’Algérie au prisme de la Guerre froide
AA

LES VIDÉOS DE NOTRE JOURNÉE D'ÉTUDES 2021 : La guerre d’Algérie au prisme de la Guerre froide

Interventions enregistrées le 18 mars 2021 en mode distanciel

On peut penser que, sans les encouragements et les appuis qu’il fut capable de trouver à l’extérieur, le FLN aurait eu beaucoup de difficultés à s’imposer à l’ensemble des forces nationalistes, mais aussi à trouver la force de durer. Les rivalités nées de la guerre froide poussaient en ce sens. Les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN, qui redoutaient avant tout que la France, par son intransigeance, ne pousse les nationalistes dans le camp soviétique, accueillirent les militants du FLN à New-York. L’URSS avec ses satellites, ainsi que la Chine communiste, multiplièrent les gestes de sympathie. Le GPRA, crée en septembre 1958, fut immédiatement reconnu non seulement par les États de la Ligue arabe, Liban et Libye inclus, mais aussi par la Chine communiste (accompagnée de la Corée et du Viêt-nam du Nord, et de la Mongolie extérieure), et par l’Indonésie.  Le 7 octobre 1960, l’URSS à son tour le reconnut de facto.

Jusqu’où, cependant, allèrent ces appuis ? Dans quelle mesure les pressions extérieures de l’un et l’autre camp conduisirent-elles à infléchir la politique française ? C’est évidemment la question principale à se poser.

Pour voir l’ensemble des interventions

Restez informés !

Recevez nos dernières nouvelles directement dans votre boîte mail.

Restons connectés !

Ce site a été réalisé avec le soutien du Ministère des Armées

Ce site a été réalisé avec le soutien du Ministère des Armées